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décembre 2013

10 méthodes pour se débarasser d’un ex gênant

Tout le monde en a un, qui s’accroche à nous comme une moule à son rocher. Je parle de l’ex-gênant. Ça vous dit quelque chose ? Oui mesdames, grâce à l’IUT time, aujourd’hui vous saurez enfin comment vous débarrasser de lui.

1. La méthode du mort

Soyons réalistes, quand au bout de plusieurs mois Jules ne comprend toujours pas que vous harceler ne vous fera pas revenir, cessez de lui répondre tout simplement. Il finira bien par se lasser de ses conversations avec votre répondeur. Attention cependant, Jules peut devenir carrément flippant. Dans ce cas, n’hésitez pas, courrez vos réfugier auprès d’un policier sexy.

2. Le présenter à une amie

Il faut l’avouer, cette méthode exige quelques sacrifices. Choisissez donc bien votre leurre : une amie proche mais pas trop pour éviter tout regret potentiel. Il faut surtout qu’elle soit assez désespérée de l’amour pour ne pas être trop exigeante. Insistez allègrement sur toutes les qualités de Jules : « Mais non Marie, Jules n’est pas possessif ! Il se préoccupe juste de ton bien-être ». Rassemblez tous vos talents d’actrices et au boulot !

3. Une scie et une poubelle

Qu’on se le dise, en matière d’ex-gênant, rien ne peut sembler excessif. Ils vous mettent les nerfs en pelote, alors pourquoi culpabiliser d’être aussi radicale ? Une méthode pas chère mais qui nécessite une certaine force physique. En effet, n’allez pas croire que Jules se laissera découper sans rechigner.Homme-Femme-c4525

4. Demandez à votre frère et ses amis de s’en débarrasser

Cette solution est un aveu de faiblesse mais ne dit-on pas « la fin justifie les moyens » ? Votre frère Steven et ses amis, toujours heureux de mettre en pratique les techniques de combat dûment apprises dans les jeux vidéo, se feront une joie de vous débarrasser de Jules. Attention : ne demandez pas trop de détail, cela risque de ne pas être beau à voir.

5. Dire qu’on va changer de sexe

Pour les récalcitrants, les durs de durs, insensibles aux diverses humiliations que vous avez tenté, vous n’avez plus le choix… Prenez Jules entre quatre yeux et dites-lui : « A partir de maintenant, appelle-moi Laurent ». Cela devrait suffire à le faire fuir durablement.

6. Dire que vous déménagez

Évidemment, si la distance imaginaire entre Jules et vous risque de le dissuader de vous reconquérir, en revanche, cette méthode comporte un désavantage majeur : à chacune de vos sorties, soyez sur vos garde. On vous conseille de toujours emporter un journal pour pouvoir vous cacher à n’importe quel moment.

7. Réellement déménager

Cette solution vous permet de sortir dehors sans risque mais peut sembler légèrement radicale. En désespoir de cause tout est imaginable. Aucune femme sensée ne vous jugera, toutes comprendront que vous étiez simplement trop vulnérable pour habiter sur le même palier que Jules.

8. Se trouver un nouveau mec

Sachez-le, il n’y a rien de mieux que de se glisser dans des bras tout chauds pour oublier les 100 sms en attente de Jules. D’autant qu’il est peu probable que Paul laisse ce petit manège continuer longtemps. Un homme à sa fierté tout de même !

9. Faire croire qu’on est lesbienne

L’amour propre de Jules risque d’en prendre un coup. « Jules, il faut que je te le dise, je suis devenue lesbienne après toi, j’ai perdu toute confiance aux hommes, tu m’en as dégouté ». Parfois, il faut donner de sa personne pour se débarrasser d’un ex, nous en avons bien conscience.

10. Soyez honnête

Après tout ça, si Jules persiste, arrêtez donc de vous creuser le crâne pour trouver un mensonge encore plus gros. Il ne vous reste qu’une chose à faire : dire la vérité : « oui Jules, c’est fini, non je ne reviendrai pas, passons à autre chose tous les deux ». Nul doute que cette fois-ci, Jules comprendra.

Bien sur, toutes ces méthodes (ou presque) peuvent être imaginées au masculin, on pense à chacun d’entres vous au journal.

Lyly

Un nouveau groupe qui a de l’avenir !

Les Harpers est un groupe de musiciens âgés de 17 et 18 ans, et qui nous propose un son pop/rock de type plutôt agréable ! Ce groupe s’est formé en 2008 et a rapidement trouvé un label. Il y a quelques semaines ils ont sorti un nouvel EP, Intraflash, ainsi qu’un clip qui représente bien le style des musiciens et l’ambiance dans laquelle ce titre vous plonge.

 Pour visionner le clip : http://www.youtube.com/watch?v=NfzV93ViBdw

1012724_661169940571313_351309821_nJe vous propose dans cet article une interview avec les membres des Harpers, cinq questions pour cinq musiciens !

Depuis quand avez vous créé les Harpers et dans quelles circonstances ?

(Antoine – guitare)

Le groupe s’est formé en 2008 et s’est étoffé au fil des rencontres. C’est un mélange de potes du lycée d’abord, et du conservatoire de Boulogne par la suite.

Après un temps de découverte propre à tout groupe débutant, on a commencé à jouer dans des salles parisiennes en 2010. On a eu pas mal de dates et un bon retour du public qui ne nous connaissait pas, et c’est à ce moment là que notre groupe a pris sa forme définitive avec l’arrivée de Ronan, au clavier.

L’année suivante nous avons été approchés par un label (ndlr : WUM Productions) avec qui nous avons décidé de travailler. Tout s’est assez bien enchaîné en fait.

Comment définiriez-vous votre style ?

(Timothée – batterie)

Dans notre groupe, chaque membre apporte son univers et ses influences formant un style propre à nous. Si il faut nous mettre dans une catégorie je dirais pop-rock. On aime bien expérimenter. Sur notre dernier titre Intraflash par exemple, la guitare est beaucoup plus funk que d’habitude.

Notre style a beaucoup évolué depuis le début et c’est normal.

Il y a sans cesse de nouvelles idées qui fourmillent, de nouvelles directions à prendre. La voix de Melchior est un élément important. Elle dégage avec nos textes du caractère et transmet d’une façon plus marquante l’univers du groupe.

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De quoi parle Intraflash votre nouveau single ?

(Melchior, le chanteur)

Je n’aime pas diriger les gens vers un sens prédéterminé. Tout peut avoir un sens suivant l’interprétation que l’on en fait.

Intraflash est une chanson sur le rêve écrite dans un moment de sommeil paradoxal. Je tenais juste à décrire au fil de la nuit les sensations et images qui me sont parvenues à l’esprit lors de phases de rêve très courtes.

Quel avenir pour les Harpers ?

(Ronan – clavier)

 L’avenir du groupe est clair dans nos esprits, les études priment mais la musique reste une activité que l’on prend très au sérieux. Malgré le travail de chacun, le soutien du label et de nos proches nous pousse à persévérer.

On s’adapte et on essaye de surfer sur la vague des nouvelles technologies. Sortir de la masse d’informations  présente sur internet et surtout des groupes émergents est un vrai défit. Il faut se démarquer pour exister.

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Pas trop dur de mêler la vie étudiante et les activités du groupe ? 

(Jules – basse)

 Ce n’est pas incompatible, mais il faut arriver à concilier les deux. Trois des cinq membres du groupe font des études qui demandent beaucoup de temps et de travail. Mais cette aventure permet à chacun de se changer les idées quand on se retrouve au moment des répétitions.

Chaque membre fait des efforts en conséquence et s’organise pour que notre groupe continue. Il y a un très bon état d’esprit. Il y a beaucoup de jeunes aujourd’hui qui concilient études et travail. On n’est pas à plaindre. Le tournage du clip fut une vraie bouffée d’air pur pendant la rentrée scolaire. Même si on m’avait mis dans le rôle de l’ours pour le clip…

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Vous allez aimer les escaliers.

Vous l’avez tous remarqué – a moins que vous n’ayez vécu dans une grotte les deux derniers mois- l’ascenseur des élèves de l’IUT est en panne et comme cette situation risque de ne pas évoluer avant un moment, le journal des Cartésiens a décidé de vous montrer que c’est TROP COOL en réalité !

Oui les amis, cet article est ambitieux. Je vous entends déjà rire. Quel bon côté peut-il y avoir à monter les 140 marches qui séparent du 7e étage plusieurs fois par jour ? Et bien détrompez-vous.

D’abord, fini la culpabilité. Et oui, vous hésitiez, manger une pizza au restau U ce midi ET manger AUSSI un pain suisse à 16 heures ça fait peut-être un peu beaucoup ? Maintenant fini tout ça, oui parce que monter les escaliers est une véritable activité physique. En moyenne vous perdez 50 calories par tranche de cinq minutes.

Si en voyant se chiffre, vous vous dites « Bof 50 calories c’est vraiment pas grand-chose ! » je vous comprends. Mais entre nous, vous savez très bien qu’en une journée à l’IUT vous empruntez régulièrement les « escaliers de la mort »-oui cette appellation peut sembler excessive mais demandez à vos jambes elles seront surement d’accord avec moi. Ainsi, chaque jour vous dépensez allègrement des centaines de calories.

Attention, tenez-vous bien, ce n’est pas fini. Alors qu’avant vous étiez serré comme des sardines dans un ascenseur de quatre mètres carré, vous disposez à présent d’une grande liberté de mouvement. Plus de bouffées de chaleur avant de rejoindre vos salles de cours, plus de joues rouges avant de claquer la bise à ce garçon (ou fille d’ailleurs) qui vous plaît tant. Mieux, vous pouvez en profiter pour qu’il ou elle vous accompagne dans les étages. Les escaliers sont désormais les lieux de rencontre en vogue !

Dernier avantages et pas des moindres selon le corps médical, vous disposez d’une arme supplémentaire pour arrêter de fumer. D’abord parce qu’être fumeur c’est Has-Been (selon les résultats très sérieux d’une enquête très sérieuse elle aussi. Si si je vous jure !) et ensuite parce que la perspective de la montée à venir frêne fortement vos élans. Le manque de nicotine n’a qu’à bien se tenir.

Vous l’aurez compris, pour être « IN » à Descartes en ce moment : soyez fier de prendre les escaliers.

Lyly

2D or not 2D

Alexander Khokhlov est un photographe dont la spécificité est de travailler sur les effets d’optique, avec comme support le visage de ses muses.

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Accompagné de la maquilleuse Valéryia Kutsana, sa dernière série « 2D OR NOT 2D » s’emploi à créer des clichés en 2D en travaillant sur les lignes et les courbes du visage.

Le résultat est une véritable claque visuelle avec des références très variées allant du pop art de Roy Lichenstein à la campagne « Hope » d’Obama. Prenant le contre-pied de la tendance peinture « donner à son oeuvre une allure de cliché photographique », le russe s’amuse au contraire à transformer le visage de ses modèles en faux tableau.

Le premier mot qui vous vient à l’esprit est « troublant », la frontière entre photographie et peinture se brouillent. Admirez par vous même.

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Si vous êtes curieux de voir ses autres travaux, allez jeter un coup d’oeil sur son site. Il a même fait une petite série sur angrybird, pour les adèptes du jeu ! Oui c’est plutôt un mec cool en effet.

Manuela

Les garçons et Guillaume, à table !

« Le premier souvenir que j’ai de ma mère, c’est quand j’avais quatre ou cinq ans. Elle nous appelle, mes deux frères et moi, pour le dîner en disant : Les garçons et Guillaume, à table».

Qui ces derniers jours n’a pas entendu parler de ce film : Les garçons et Guillaume, à table !

Guillaume Gallienne, sociétaire de la Comédie-Française, nous fait découvrir un film qu’il a lui-même écrit, réalisé et où il endosse le rôle de plusieurs personnages. Un joli démarrage au cinéma nous confirme son approbation par le public.

A l’origine une pièce de théâtre, on observe un Guillaume multi-figures, qui avec cette double prestation nous fait rire et sortir du cinéma le sourire aux lèvres.

De la relation avec sa mère, son père et son entourage, Guillaume Gallienne nous dépeint tout en finesse une adolescence au sein d’une famille bourgeoise et remplie de préjugés.

Rien qu’avec le nom du film, on devine qu’il abordera un sujet qui a plus qu’alimenté l’actualité l’année dernière : l’homosexualité. Mais loin d’être une plainte ou une critique, c’est tout en finesse et humour que le thème est abordé. On s’attache à ce jeune homme plein de sensibilité, fasciné par sa mère.

Ce film traite avec une légèreté subtile un sujet qui, au-delà de la question de l’homosexualité, nous touche tous, et, si l’on va plus loin dans l’analyse, nous pousse à nous demander si nous nous connaissons vraiment.

Un film original et drôle qui vous fera passer un bon moment !

Bande annonce

Alex

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